La Presse - Extraits

Pascale Vyvère comédienne

Pascale Vyvère - que nous voyons trop rarement à la scène - est merveilleuse (et fort belle) dans le personnage de Marguerite. Plus qu'une actrice, elle chante admirablement bien. Cela fait corps avec José Van Dam.
(Roger Simons, www.cinemaniacs.be)

La fougue et la faconde du couple central incarné par Benoît Van Dorslaer et Pascale Vyvère contribuent largement à son succès. Surtout elle, sorte de Castafiore enjouée et percutante. Ah, elle rit à se voir si belle en ces Miroirs. Quant à nous, nous la trouvons sublime.
(P. Vanesse, La Nouvelle Gazette)

Pascale Vyvère et Benoît Van Dorslaer - Quels tempéraments ! - sont des personnages sortis du magasin de James Ensor, grimaçants, dingues, immensément drôles et tragiques sous leur masque.
(Sophie Creuz, L'Echo)

Une Dorine d'anthologie... (...) Pascale Vyvère tient à bout de bras et de souffle les deux premiers actes avec une intelligence, une humanité et un abattage dénué de cabotinage qui méritent amplement les applaudissements spontanés de la salle.
(Philip Tirard, La Libre Belgique)

Tout en coup de gueule et en énergie, Pascale Vyvère lui donne une présence formidable, emportant tout sur son passage mais sachant le faire en finesse et sans effets appuyés. Du début à la fin du spectacle, elle sera une des pièces maîtresses de celui-ci assurant presque à elle seule la partie franchement drôle et insolente des dialogues.
(J.-M. Wynants, Le Soir)

Rythmant à merveille les silences (…) Pascale Vyvère donne à cette ultime conversation toute la sincérité, la crédibilité et l'émotion exigées par cette partition périlleuse.
(C. Prouvost, Le Soir)

Cette vie littéralement pendue à un fil, Pascale Vyvère l'exprime avec une émotion intense. Par une présence qui dégage une puissance impressionnante, par le timbre de sa voix chaude et intime, mais aussi par la symphonie de son corps, tous ses sens exacerbés.
(E. de Bellefroid, La Libre Belgique)

Une Pascale Vyvère éclatante, plus Madelon que nature.
(Le Ligueur)

A ce jeu, Pascale Vyvère excelle, les mains au clavier, le regard ambigu, dont on ne sait s'il couve une plaisanterie ou une tragédie, avec cette superbe voix souple et satinée, inimitable.
(M. Friche, Le Vif/L'Express)

L'une comme l'autre sont touchantes à commencer par Pascale Vyvère qui depuis Miroirs d'Ostende et plus récemment Le fil à la patte, n'en finit plus de nous surprendre.
(L. Dendooven, www.rtbf.be)

Incontestable pilier de la distribution, Pascale Vyvère transcende le texte dans le rôle complexe de Sandra, d'une rudesse vulgaire par moments mais terriblement attachant parce que tiraillé entre son indépendance de femme libérée et son instinct maternel effrayé par l'inconnu.
(C. Makereel, Le Soir)

(...) Pascale Vyvère, tout à fait extraordinaire et surprenante dans le rôle de Sandra, la mère. Une forte nature de comédienne, une présence en scène d'une authenticité réelle.
(R. Simons, www.cinemaniacs.be)

Mention spéciale à Pascale Vyvère qui campe Sandra, la mère de Jamie, dans une prestation très juste et puissante.
(www.vazy.be)
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